Laura Garcia Vitoria

Territorios del conocimiento/Territoires de la connaissance Sociedad del conocimiento/Société de la connaissance : les regards sur l'identité personnelle et professionnelle dans la société de la connaissance

10/03/2007

El árbol que esconde el bosque

El código Da Vinci, un éxito americano, producto márquetin sin ningún fundamento histórico que esconde la verdadera problemática que plantean cuatro excelentes escritos bien documentados:
1. “El enigma sagrado”, (1988) un ensayo exhaustivamente anotado de Baigent, Leigh y Lincohn que aborda la supuesta descendencia de Jesús de Galilea a través de María Magdalena y su eventual descendencia posterior enraizada en la dinastía merovingia. El escrito estudia con rigor el Sangrial a través de los templarios, el Priorato de Sion, y los acontecimientos de Rennes-le-Chateau.
2. “El desvelamiento de la revelación” de Rafael Hereza (1981) sobre la identidad del “discípulo amado”
3. “La nueva Eva” (1993 de Manuel Garcia Viño
4. “El discípulo amado” de Antonio Enrique (2000)
Estos cuatro libros nos permiten cuestionar la doctrina jerárquica, masculina y petrina de la iglesia y reflexionar sobre otra doctrina de origen joánico, mistérica e igualitaria.

Iconoclaste?

Préliminaires à une prospective des religions

L’AUTORITÉ DE LA BIBLE…peut-on la prouver?

Mais...
¿Qué es la vida? Un frenesí. ¿Qué es la vida? Una ilusión,una sombra, una ficción, y el mayor bien es pequeño; que toda la vida es sueño,y los sueños, sueños son.
Seul "Le silence" pourra nous procurer la connaissance nécessaire pour nous conduire vers le village du savoir que nous appelons de nos veux et vers lequel nous cheminons. Avec ce paradoxe formulé par Machado: "caminante no hay camino, se hace camino al anda...r" Ce silence comme continuité, c’est celui qui découvre l’homme qui se libère de sa mémoire, de ses gouts et de ses émotions, c’est ce «centre» qui remet en question l’établissement de n’importe quelle relation, un centre qui certainement incarne le néant mais qui se transforme en écoute qui a appris à faire taire sa voix pour s’ouvrir à tous les sons. Un silence qui prête son ouïe au monde et qui nous conduit à ce lieu où l’oreille se remplit des sons. Etre attentif au silence, c’est écouter ce qui d’habitude nous échappe, ce qui passe inaperçu. Pour en arriver là, il est nécessaire d’arrêter l’activité urgente et cheminer vers ce que nous devons faire ou écouter.