Laura Garcia Vitoria

Territorios del conocimiento/Territoires de la connaissance Sociedad del conocimiento/Société de la connaissance : les regards sur l'identité personnelle et professionnelle dans la société de la connaissance

3/11/2008

« L’Eglise de la République »

Alain Bauer n'a pas tort (3) certains substituent une église par une chapelle, une idole par un fétiche, un Papa par une «papafraternité », un dogme par un secret de polichinelle, une servitude par une captivité…
En vérité, ils n’ont pas grandi: ils restent dans l’asservissement de l’enfance et n’ont pas fini leur initiation vers la connaissance. Il est donc légitime de penser qu'ils ne sont pas "libres ni de bonnes mœurs"! (1)
Des ignorants? Vous les apercevrez dans toutes les confessions et paroisses, et comme elles sont "alchimie des multitudes (2)"…
"Vinieron los sarracenosy nos molieron a palos que Dios ayuda a los malos cuando son más que los buenos. Les sarrasins sont arrivés et ils nous ont roués de coups car Dieu aide les méchants quand ils sont plus nombreux que les bons", Don Quijote).
Et la multitude finit par ne pas avoir de discernement: la planète est en train de mourir, l’éthique est absente au rendez-vous et la fin justifie les moyens: Busch, le chrétien, approuve certaines pratiques sur les prisonniers… Et dans cette autre église de la République, tout devient possible, le pire et le meilleur vous y trouverez…
... puisque le secret, mal compris par celui qui se dit initié (secret + calomnie, mensonge, médisance, bavardage - une autre forme de torture et de mort - ) peut être l’excuse lorsque l’on a beaucoup à se reprocher…
(http://www.arenotech.org/le_silence/le_silence_lgv_indice.htm)

«Donnez à Dieu c’est qui est à Dieu et à César c’est qui est à César »
" Non pas se servir ni asservir, mais servir ".
1. Un franc-maçon doit être "libre et de bons moeurs"
2. Francis Pisani et Dominique Piotet, 'L'alchimie de multitudes. Comment le web change le monde", L'atelier de BNP PARISBAS et Pearson, Paris 2008.
3. Dans son émission "Ce Soir ou jamais", Frédéric Taddéi recevait plusieurs Franc-maçons : Alain Bauer, Donald Potard (membre de la Grande Loge Nationale Française, président de la fraternelle inter-obédientielle maçonnique "Les enfants de Cambacérès", Roland Dumas, Marie France Picart, Jacques Ravenne et François Koch. La phrase dite par Alain Bauer :"La Franc-maçonnerie, c'est en quelque sorte l'Eglise de la République"