A propos du génie féminin
Le Pape Benoit XVI dit fort justement :
«Il y a des lieux et des cultures où la femme est discriminée et sous-évaluée pour le seul fait d'être femme, où l'on a même recours à des arguments religieux et à des pressions familiales, sociales et culturelles pour soutenir la disparité des sexes, où sont perpétrés des actes de violence à l'égard de la femme, faisant d'elle un objet de mauvais traitements et d'exploitation dans la publicité et dans l'industrie de la consommation et du divertissement ».
Néanmoins, il ajoute:
«…nous avons besoin d'une recherche anthropologique renouvelée qui, sur la base de la grande tradition chrétienne, intègre les nouveaux progrès de la science et les données concernant les sensibilités culturelles d'aujourd'hui, contribuant ainsi à approfondir non seulement l'identité féminine mais aussi masculine qui est également souvent l'objet de réflexions partiales et idéologiques ».
Identité féminine?
«…pour que la femme ait la possibilité de collaborer à la construction de la société, en valorisant son génie féminin caractéristique».
Honorée! Mais, je souhaiterais davantage une reconnaisance de «mon génie» sans distinction de sexe.
Je me conçois bien plus dans une égalité de fait, et ceci d’autant plus que la société de la connaissance naissante semble plus viser à l’unification anthropologique de nos pratiques et de nos identités qu’aux distinctions héritées de nos histoires et de nos cultures.
C’est d’ailleurs là tout l’enjeu, voire le défi de l’économie du savoir que de viser à l’égalité des destins, tout en tenant compte des différences léguées par les héritages à transcender.
«Il y a des lieux et des cultures où la femme est discriminée et sous-évaluée pour le seul fait d'être femme, où l'on a même recours à des arguments religieux et à des pressions familiales, sociales et culturelles pour soutenir la disparité des sexes, où sont perpétrés des actes de violence à l'égard de la femme, faisant d'elle un objet de mauvais traitements et d'exploitation dans la publicité et dans l'industrie de la consommation et du divertissement ».
Néanmoins, il ajoute:
«…nous avons besoin d'une recherche anthropologique renouvelée qui, sur la base de la grande tradition chrétienne, intègre les nouveaux progrès de la science et les données concernant les sensibilités culturelles d'aujourd'hui, contribuant ainsi à approfondir non seulement l'identité féminine mais aussi masculine qui est également souvent l'objet de réflexions partiales et idéologiques ».
Identité féminine?
«…pour que la femme ait la possibilité de collaborer à la construction de la société, en valorisant son génie féminin caractéristique».
Honorée! Mais, je souhaiterais davantage une reconnaisance de «mon génie» sans distinction de sexe.
Je me conçois bien plus dans une égalité de fait, et ceci d’autant plus que la société de la connaissance naissante semble plus viser à l’unification anthropologique de nos pratiques et de nos identités qu’aux distinctions héritées de nos histoires et de nos cultures.
C’est d’ailleurs là tout l’enjeu, voire le défi de l’économie du savoir que de viser à l’égalité des destins, tout en tenant compte des différences léguées par les héritages à transcender.
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