LA FEMME, «BUSINESS INNOVATION MANAGER» PAR EXCELLENCE
Nos amis de la prestigieuse université Bocconi de Milan sont formels: les compétences nécessaires pour assumer la nouvelle fonction de « business innovation manager » correspondent parfaitement avec l’approche féminine du management.
Dans le rapport de recherche «Business innovation manager» que Silvia Zamboni et Enzo Baglieri (SDA Bocconi) viennent en effet de publier en collaboration avec Cinzia Giacchetti et Lorena Cappoccia (Progetti manageriali, société de services Federmanager), la nouvelle figure professionnelle se trouve décrite avec une grande précision: la femme excelle dans l’orchestration des activités antérieures à la réalisation, mais aussi la mise en oeuvre et la gestion d’un projet essentiel à l’innovation dans l’entreprise, et ceci dans son acceptation la plus large. Elle serait donc la figure managériale par excellence en termes de gestion de l’innovation dans une société, ceci en réussissant à structurer fortement le processus même de l’innovation. Ce qui permet à ce rapport qui vient de paraître de recommander un fort investissement dans la création de parcours de développement professionnel et de formation adéquats (à travers notamment des exemples comme ceux d’IBM, AMD, CitiGroup et Procter & Gamble par exemple).
Ce profil, est-il dit par nos collègues, doit posséder un ensemble de compétences technologiques, stratégiques, de marketing, de business et de management et peut permettre l’amplification des responsabilités d’un «chief information officer» dans les entreprises dans lesquelles les processus innovants dépendent d’abord de l’infrastructure informationnelle ; celles du «chief technology officer» quand le vecteur critique de la compétitivité réside dans l’amplification des compétences technologiques et des résultats issus de la R&D; celles des rôles de relation avec les clients quand on veut qu’à travers l’implication des technologies de la connaissance et la connexion avec le marché, l’entreprise puisse acquérir de meilleures informations pour orienter ses propres choix innovants et renforcer son image.
Les chercheurs dépeignent ainsi de la sorte les compétences nécessaire à ce nouveau profil professionnel : le «business innovation manager», selon leur analyse, doit ainsi avoir une bonne vision stratégique, des savoirs en matière de planification pluri-annuelle en matière économique et financière, posséder de bonnes compétences organisationnelles également, de même qu’en gestion du changement et de négociation, des savoirs-faire dans le domaine du leadership, de la gestion des ressources et des équipes de projet, mais encore de bonnes connaissances de marketing, de technologies de l’information et bien sûr de solides acquits linguistiques - adieu, les entreprises monolingues… !) –
Les femmes, et ceci indépendamment du niveau managérial, permettent clairement des évaluations nettement plus élevées, au travers notamment de leurs fortes compétences systémiques, leur vision d’intégration et de relation au management nécessaire au nouveau rôle: l’approche féminine correspond ainsi parfaitement aux profils évoqués en la matière par la littérature managériale.
Dans le rapport de recherche «Business innovation manager» que Silvia Zamboni et Enzo Baglieri (SDA Bocconi) viennent en effet de publier en collaboration avec Cinzia Giacchetti et Lorena Cappoccia (Progetti manageriali, société de services Federmanager), la nouvelle figure professionnelle se trouve décrite avec une grande précision: la femme excelle dans l’orchestration des activités antérieures à la réalisation, mais aussi la mise en oeuvre et la gestion d’un projet essentiel à l’innovation dans l’entreprise, et ceci dans son acceptation la plus large. Elle serait donc la figure managériale par excellence en termes de gestion de l’innovation dans une société, ceci en réussissant à structurer fortement le processus même de l’innovation. Ce qui permet à ce rapport qui vient de paraître de recommander un fort investissement dans la création de parcours de développement professionnel et de formation adéquats (à travers notamment des exemples comme ceux d’IBM, AMD, CitiGroup et Procter & Gamble par exemple).
Ce profil, est-il dit par nos collègues, doit posséder un ensemble de compétences technologiques, stratégiques, de marketing, de business et de management et peut permettre l’amplification des responsabilités d’un «chief information officer» dans les entreprises dans lesquelles les processus innovants dépendent d’abord de l’infrastructure informationnelle ; celles du «chief technology officer» quand le vecteur critique de la compétitivité réside dans l’amplification des compétences technologiques et des résultats issus de la R&D; celles des rôles de relation avec les clients quand on veut qu’à travers l’implication des technologies de la connaissance et la connexion avec le marché, l’entreprise puisse acquérir de meilleures informations pour orienter ses propres choix innovants et renforcer son image.
Les chercheurs dépeignent ainsi de la sorte les compétences nécessaire à ce nouveau profil professionnel : le «business innovation manager», selon leur analyse, doit ainsi avoir une bonne vision stratégique, des savoirs en matière de planification pluri-annuelle en matière économique et financière, posséder de bonnes compétences organisationnelles également, de même qu’en gestion du changement et de négociation, des savoirs-faire dans le domaine du leadership, de la gestion des ressources et des équipes de projet, mais encore de bonnes connaissances de marketing, de technologies de l’information et bien sûr de solides acquits linguistiques - adieu, les entreprises monolingues… !) –
Les femmes, et ceci indépendamment du niveau managérial, permettent clairement des évaluations nettement plus élevées, au travers notamment de leurs fortes compétences systémiques, leur vision d’intégration et de relation au management nécessaire au nouveau rôle: l’approche féminine correspond ainsi parfaitement aux profils évoqués en la matière par la littérature managériale.
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