Marseille 2013
Suite à l’ensemble de nos rencontres dans le cadre de la préparation de notre projet de mise en réseau des territoires intelligents de Méditerranée - acteurs territoriaux à Marrakech à Valencia, ( imágenes de Valencia y su procesión)
acteurs institutionnels à Luxembourg et Strasbourg notamment -, nous avons essayé de développer le concept que nous souhaiterions introduire dans notre dynamique de mise en réseau et dans notre événement du 5 mai dans la capitale provençale : «MARSEILLE, au cœur d’une dynamique de réseau, celle d’une Méditerranée innovante et attractive, réunissant territoires, villes et quartiers au travers de la mutualisation notamment des expérimentations les plus innovantes dans l’ensemble des domaines».
acteurs institutionnels à Luxembourg et Strasbourg notamment -, nous avons essayé de développer le concept que nous souhaiterions introduire dans notre dynamique de mise en réseau et dans notre événement du 5 mai dans la capitale provençale : «MARSEILLE, au cœur d’une dynamique de réseau, celle d’une Méditerranée innovante et attractive, réunissant territoires, villes et quartiers au travers de la mutualisation notamment des expérimentations les plus innovantes dans l’ensemble des domaines».
Très concrètement, il s’agit de faire œuvrer au quotidien tous les espaces de l’innovation ayant pour objectif non seulement d’échanger leurs bonnes pratiques en la matière - de manière totalement inter et transdisciplinaire -, mais aussi d’élaborer de tels lieux ailleurs, et singulièrement sur la rive sud - et ceci en partenariat avec les institutions internationales -.
Plus profondément, la Méditerranée a toujours été un écosystème favorable à une innovation de rupture - ce dont témoigne aujourd’hui encore une partie de son patrimoine ou de ses usages -: la Méditerranée bleue, la Marseille bleue, c’est cela aussi et même cela d’abord.
Retrouver l’horizon bleu de ses rives peut être un vrai paradigme de son économie et de ses sociétés de demain au travers de modèles économiques profondément différents de ceux des économies industrielles et des sociétés à qui elle a avait souvent soustrait le savoir relatif à la gestion de son identité.
Or c’est ce savoir qui aujourd’hui émerge à nouveau à la faveur d’une systémique territoriale croisant tout à la fois l’usage de technologies de réseaux d’une force encore insoupçonnée il y a encore une demi-décennie, mais aussi et surtout le retour aux pratiques millénaires qui ont marqué la culture du monde occidental dans son ensemble.
Marseille 2013, c’est bien ce croisement là, encore difficile à lire - il faut bien le reconnaître - pour des acteurs territoriaux pour lesquels la gestion d’une mutation de cette ampleur est forcément difficile. Marseille 2013 - pour la Fondation des Territoires de Demain en tout cas - est l’occasion d’un grand exercice de projection croisée dans le futur et dans le passé. Il faut pour cela rassembler à cette occasion tous ceux qui sont en première ligne pour imaginer demain, d’autres scénarios de développement et donc d’autres scénarios de vie. C’est aussi cela, le bleu, un écosystème symbolique de vie et de changement à chaque instant, un univers mental aussi familier que difficile à appréhender dans ses transformations au gré de la lumière des autres «possibles» de demain.
Plus profondément, la Méditerranée a toujours été un écosystème favorable à une innovation de rupture - ce dont témoigne aujourd’hui encore une partie de son patrimoine ou de ses usages -: la Méditerranée bleue, la Marseille bleue, c’est cela aussi et même cela d’abord.
Retrouver l’horizon bleu de ses rives peut être un vrai paradigme de son économie et de ses sociétés de demain au travers de modèles économiques profondément différents de ceux des économies industrielles et des sociétés à qui elle a avait souvent soustrait le savoir relatif à la gestion de son identité.
Or c’est ce savoir qui aujourd’hui émerge à nouveau à la faveur d’une systémique territoriale croisant tout à la fois l’usage de technologies de réseaux d’une force encore insoupçonnée il y a encore une demi-décennie, mais aussi et surtout le retour aux pratiques millénaires qui ont marqué la culture du monde occidental dans son ensemble.
Marseille 2013, c’est bien ce croisement là, encore difficile à lire - il faut bien le reconnaître - pour des acteurs territoriaux pour lesquels la gestion d’une mutation de cette ampleur est forcément difficile. Marseille 2013 - pour la Fondation des Territoires de Demain en tout cas - est l’occasion d’un grand exercice de projection croisée dans le futur et dans le passé. Il faut pour cela rassembler à cette occasion tous ceux qui sont en première ligne pour imaginer demain, d’autres scénarios de développement et donc d’autres scénarios de vie. C’est aussi cela, le bleu, un écosystème symbolique de vie et de changement à chaque instant, un univers mental aussi familier que difficile à appréhender dans ses transformations au gré de la lumière des autres «possibles» de demain.
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