Reflexiones por tierras hispánicas (3)

Las caricaturas pornográficas, zafias, procaces de Jesucristo y su madre, subvencionadas por la Junta de Extremadura, no han provocado un gran revuelo, pero me pregunto que le habría sucedido a este pretendido artista hacedor de tales inmundicias y a su Junta si hubieran hecho lo mismo con los símbolos sagrados de la fe musulmana.
Estas fotografías, en mi opinión, muestran el grado de cobardía del artista, pues sabe muy bien que los católicos sólo se indignaran un ratito y nunca se atrevería a hacer lo mismo si se tratara de musulmanes, filosofías o violencias de género.
En un país de mayoría católica tales bazofias son un insulto a los españoles. Las fotografías no son ni audaces ni modernas ni vanguardistas sólo son una burla, un insulto, una basura.
No deja de sorprenderme el hecho de que esos mismos españoles que protestaron contra las caricaturas de Mahoma no se indignen por lo que se refiere a las de Cristo y su madre.
Por otro lado, contrasta la campaña oscena hacia católicos y cristianos en España, un país de mayoría cristiano, con el escrupuloso respeto hacia otras religiones. ¿Es consecuencia del miedo políticamente correcto de algunos falsamente “progres”?
Y yo me pregunto ¿qué alianza de civilizaciones puede existir cuando no se respeta la suya propia?
Por ende, en una democracia se entiende que la libertad de expresión tiene unos limites marcados por el respeto a las personas, valores y principios, los mismos que han impulsado a través del Instituto de la mujer la retirada de un anuncio de Dolce y Gabbana por considerarlos sexista e incitador a la violencia contra las mujeres

A propos du génie féminin

Le Pape Benoit XVI dit fort justement :

«Il y a des lieux et des cultures où la femme est discriminée et sous-évaluée pour le seul fait d'être femme, où l'on a même recours à des arguments religieux et à des pressions familiales, sociales et culturelles pour soutenir la disparité des sexes, où sont perpétrés des actes de violence à l'égard de la femme, faisant d'elle un objet de mauvais traitements et d'exploitation dans la publicité et dans l'industrie de la consommation et du divertissement ».

Néanmoins, il ajoute:

«…nous avons besoin d'une recherche anthropologique renouvelée qui, sur la base de la grande tradition chrétienne, intègre les nouveaux progrès de la science et les données concernant les sensibilités culturelles d'aujourd'hui, contribuant ainsi à approfondir non seulement l'identité féminine mais aussi masculine qui est également souvent l'objet de réflexions partiales et idéologiques ».

Identité féminine?

«…pour que la femme ait la possibilité de collaborer à la construction de la société, en valorisant son génie féminin caractéristique».

Honorée! Mais, je souhaiterais davantage une reconnaisance de «mon génie» sans distinction de sexe.
Je me conçois bien plus dans une égalité de fait, et ceci d’autant plus que la société de la connaissance naissante semble plus viser à l’unification anthropologique de nos pratiques et de nos identités qu’aux distinctions héritées de nos histoires et de nos cultures.
C’est d’ailleurs là tout l’enjeu, voire le défi de l’économie du savoir que de viser à l’égalité des destins, tout en tenant compte des différences léguées par les héritages à transcender.

Images et imaginaires : les nouveaux discours

Reflexiones por tierras hispánicas

La Cène : un exemple de mauvais goût

La Cena un ejemplo de mal gusto y de falta de imaginacion!