L’Afrique au cœur de… l'innovation
Il est bien connu aujourd'hui que l'innovation prospère dans les sociétés qui favorisent les tâches communautaires, où émergent des espaces où se ressemblent les passionnés de technologie, les entrepreneurs, les militants, la société civile, les créateurs et tous ceux qui souhaitent contribuer à l'émergence d'idées pour servir la communauté ainsi recréé, où ils échangent des idées et des expériences qui se contredisent et se stimulent, où l’on essaye de trouver des services de meilleure qualité à un prix équitable. Telles en fait les communautés traditionnelles de vieux baobab, qui sont enracinées et encouragent le travail conjoint, où on partage l’espace de travail et son management.
Tous les espaces de travail communautaires ne s’inspirent certes pas des traditions, mais ces lieux existent et ne manquent pas, ils sont nombreux: soit les co-espaces de travail, comme certains les appellent pour paraître comme "post-moderne», le «co-working spaces», soit les incubateurs que créent les gouvernements ou les grandes entreprises pour faire émerger des start-ups et de nouvelles entreprises, ou enfin d'autres espaces bien singuliers. Dans tous les cas, les exemples les plus spectaculaires se trouvent autour de ces communautés, comme c'est le cas en Afrique où les TIC sont utilisés pour résoudre les grands problèmes sociétaux.
Bien connu est ainsi le "Ushahidi", le logiciel vous permettant de monter des cartes d'Afrique sur lesquelles vous pouvez identifier les points de grand intérêt et qui est utilisé pour localiser les positions dans les postes de secours aux sinistrés, comme dans le tremblement de terre en Haïti ou le tsunami à Fukushima.
Nous voulons souligner ici trois exemples de domaines de l'innovation ouverte et de rupture africains; nous sommes bien conscients qu'il y a beaucoup d'autres moins connus, tels celui qui accompagne notre réseau "Territoires de Demain" en Amérique latine et en Afrique, deux continents propices et traditionnellement tournés à ces types de communautés:
1. Le "iHub" Nairobi (Kenya) a été lancé en 2008 et possède plus de 5000 membres de différents niveaux qui se distinguent par des couleurs. Le iHub est utilisé pour promouvoir une série d'initiatives telles que le "Nilab" pour les entrepreneurs sociaux ou "M-Lab" pour ceux qui se spécialisent dans la téléphonie mobile.
2. Le "JokkoLabs" de Dakar au Sénégal est un espace de co-entreprise de travail où les militants sont très nombreux ; il est plus petit que la iHub, mais privilégie l'action à la réflexion et se définit comme un «actiontank».
3. Le "Barcamp" d'Abidjan en Côte-d'Ivoire, est très différent des deux premiers, où les interventions et les événements de types divers et variés sont le centre de l'attention, allant d'un concert Rok à la prédication de Jésus-Christ, comme modèle et cœur de toute activité ...
Notre Réseau "Territoires de Demain", ARENOTECH et "ses satellites" depuis les années quatre-vingt offrent un espace d'échange et d'innovation au service du bien commun. Donc, là, je vous laisse, à-dieu et à l'Internet qui peuvent vous aider à vous documenter et élargir vos connaissances à ce sujet ...
Tous les espaces de travail communautaires ne s’inspirent certes pas des traditions, mais ces lieux existent et ne manquent pas, ils sont nombreux: soit les co-espaces de travail, comme certains les appellent pour paraître comme "post-moderne», le «co-working spaces», soit les incubateurs que créent les gouvernements ou les grandes entreprises pour faire émerger des start-ups et de nouvelles entreprises, ou enfin d'autres espaces bien singuliers. Dans tous les cas, les exemples les plus spectaculaires se trouvent autour de ces communautés, comme c'est le cas en Afrique où les TIC sont utilisés pour résoudre les grands problèmes sociétaux.
Bien connu est ainsi le "Ushahidi", le logiciel vous permettant de monter des cartes d'Afrique sur lesquelles vous pouvez identifier les points de grand intérêt et qui est utilisé pour localiser les positions dans les postes de secours aux sinistrés, comme dans le tremblement de terre en Haïti ou le tsunami à Fukushima.
Nous voulons souligner ici trois exemples de domaines de l'innovation ouverte et de rupture africains; nous sommes bien conscients qu'il y a beaucoup d'autres moins connus, tels celui qui accompagne notre réseau "Territoires de Demain" en Amérique latine et en Afrique, deux continents propices et traditionnellement tournés à ces types de communautés:
1. Le "iHub" Nairobi (Kenya) a été lancé en 2008 et possède plus de 5000 membres de différents niveaux qui se distinguent par des couleurs. Le iHub est utilisé pour promouvoir une série d'initiatives telles que le "Nilab" pour les entrepreneurs sociaux ou "M-Lab" pour ceux qui se spécialisent dans la téléphonie mobile.
2. Le "JokkoLabs" de Dakar au Sénégal est un espace de co-entreprise de travail où les militants sont très nombreux ; il est plus petit que la iHub, mais privilégie l'action à la réflexion et se définit comme un «actiontank».
3. Le "Barcamp" d'Abidjan en Côte-d'Ivoire, est très différent des deux premiers, où les interventions et les événements de types divers et variés sont le centre de l'attention, allant d'un concert Rok à la prédication de Jésus-Christ, comme modèle et cœur de toute activité ...
Notre Réseau "Territoires de Demain", ARENOTECH et "ses satellites" depuis les années quatre-vingt offrent un espace d'échange et d'innovation au service du bien commun. Donc, là, je vous laisse, à-dieu et à l'Internet qui peuvent vous aider à vous documenter et élargir vos connaissances à ce sujet ...