Laura Garcia Vitoria

Territorios del conocimiento/Territoires de la connaissance Sociedad del conocimiento/Société de la connaissance : les regards sur l'identité personnelle et professionnelle dans la société de la connaissance

8/27/2007

e-tourisme à Aurillac

Je pars pour Aurillac, capitale commerciale et touristique de la Haute-Auvergne, elle comprend une cité moderne édifiée autour des vieux quartiers, ses maisons des XVIIème et XVIIème siècles ont une architecture soignée. Aurillac a une origine gallo-romaine, mais c'est cependant autour de l'abbaye, fondée au IXème siècle par St. Géraud, comte auvergnat, que la ville se développa. Cette abbaye a donné à la chrétienté le premier pape français. C'est lui qui aurait introduit l'usage des chiffres arabes dans le monde occidental. Il construisit la première horloge à poids, inventa un astrolabe pour les observations marines, perfectionna les orgues. Il devint pape en 999, sous le nom de Sylvestre II.
Je pense visiter la place St. Géraud avec sa façade romane à arcades et colonnettes, la maison coloniale de la fin du XVème siècle, la cuve en serpentine du XIIème siècle, l’église St. Géraud, Ancienne abbatiale qui fut fondée à la fin du 9ème s. par le comte Géraud et devint une étape du pèlerinage de St. Jacques de Compostelle, la Maison Consulaire, construction de la Renaissance qui a été restaurée et transformée en musée... et faire mes propres découvertes que je compte bien vous raconter dès mon retour…
Je pars pour participer à une table ronde et parler du e-tourisme ... à bientôt donc...

8/25/2007

La vidéo de l'Atelier : Le mobile, un meta media

8/24/2007

Le jour du blogger

Toute la journée du 31 août, les bloggers partout dans le monde posteront un article recommandant 5 nouveaux blogs. En ce jour, les visiteurs de blogs se retrouveront projetés et découvriront des blogs inconnus, célébrant la découverte de nouvelles personnes, et de nouveaux bloggers.

Je trouve cette occasion idéale pour faire connaître des blogueurs méconnus ou connus, surtout celui de mon hippopotame. L'action est totalement désintéressée, dit-on. Cela permet de mettre certains blogs en valeur. Recommandez-nous, mon compagnon et moi-même, sur :
http://www.blogday.org/es.htm

Le contenu de notre dialogue fera l'objet d'un prochain message. Vous devinez d'ores et déjà qu'il sera lourd de signification pour l'avenir de la communication!

Des écoles-ateliers pour les candidats à l’émigration vers Espagne

Un modèle à suivre: l'Espagne lance d’un plan de formation chez ses voisins du Sud

En juillet 2007 le ministre du Travail espagnol signait des accords avec le Sénégal, la Mauritanie et le Mali et le mois août avec la Gambie et la Guinée-Basau pour créer des écoles-ateliers sur le modèle de celles existants en Espagne afin tenter de fixer la population locale en augmentant son niveau de qualification dans des domaines comme l’agriculture ou la pêche, et, de mieux former les candidats au voyage vers l’Europe pour qu’ils répondent ainsi aux nécessités réelles de la demande de main d’œuvre des pays développés. L’Espagne consacrera un budget de 50 millions d’euros à ce faire.

Ces mesures espagnoles profitent à toute l’Union européenne : pour la majeure partie des émigrés illégaux qui entrent en Espagne depuis l’Afrique, l’Espagne représente, en effet, un passage obligatoire pour la France et le reste de l’Europe.

Le lancement de ce projet d’écoles-ateliers n’est que la poursuite d’essais réalisés en Amérique Latine.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Immigration

8/23/2007

Nos enracinements temporels (1)

La page d’accueil cet été de nos amis du Journal du Net m’a rendue songeuse. D’un côté figure une photo de classe sensée nous donner envie de retisser des liens avec des personnes connues dans notre jeunesse. De l’autre, un appel à contribution où il est demandé aux visiteurs du site de décrypter leurs réseaux avec pour intitulé : « Réseaux sociaux : tous pour un, un pour chacun ? » et où le nombre de contributeurs enregistrés à ce jour est de zéro.
Or, le hasard veut que sur le présent blog, ceux qui le suivent et l’accompagnent savent que sont présentes à la fois des images de mon enfance et des textes évoquant précisément les réseaux actifs autour de mes travaux.
La fiction collective des tribus du Net se voit confrontée ainsi à la forte individualisation des destins qui caractérise notre société. Une dialectique qui fait se rencontrer une histoire unique et d’autres histoires uniques, oui, mais aussi une conjugaison d’enracinements temporels que nous interprétons de manière souvent si différente selon la manière dont elle a agi sur nous.
Pour beaucoup, le terreau qui est le leur s’assèche très vite : ce fut longtemps le cas d’une grande partie de mon entourage aujourd’hui lointain, très lointain… Ils ne donnent rien - au fait, que donneraient-ils d’ailleurs ? -, ils ne risquent donc pas de recevoir que des faux semblants qui se traduisent par autant d’images clonées : ils vivent dans la bulle de Second Life, mais contrairement aux ultranautes qui nous entourent, ils ne le savent pas. Ils attendent derrière leur comptoir de mourir vraiment, et ils oublient l’attente en construisant autant de phrases, de formulations que les sorcières et sorciers d’autrefois. Ils déambulent sur les trottoirs en s’imaginant héros de feuilletons à la manière de Dallas - s’ils savaient, les pauvres ! -. Ils ne perçoivent leurs semblables que comme un perpétuel défi à leur ennui. Toute émanation d’activité neuronale leur pèse, et c’est après tout bien normal dans la mesure où ils savent bien que cela n’intéresse personne. Ils s’inventent des cadres fictifs et finissent par y croire eux-mêmes. Ils ont besoin de s’inventer des rôles qui ne leur ressemblent en rien, ils en ont besoin pour se protéger des mensonges qui les font vivre.
Cette confrontation d’images m’a donné une idée : et si je vous emmenais les rencontrer, si j’essayais de les décrire pour peut-être - on ne sait jamais - les accepter…

Mais avant cela, avant que de pénétrer dans la galerie, je voudrais me souvenir d’autres images chères, mes modèles et vous les donner à voir. On s’entoure d’amis, fussent-ils lointains et disparus, avant que de tenter une telle aventure.


8/18/2007

Les interesa mi opinion?

Ahora que todos, desde San Francisco a Bangalore, evocan la nueva página pendiente sobre el internet del futuro –el famoso internet 3.0, podemos mirar con más serenidad la frenética costumbre que tienen algunos de interesarse sobre la opinión del vecino de al lado y su tendencia a utilizar los hilos de la interactividad, incluso cuando no presenta la mínima aportación en términos de saber, conocimiento o peritaje
“Instituciones y empresas han comenzado a interesarse más bien por la opinión que sobre ellos se observa sobre la Red”, subraya Virginia Robert en un reciente artículo del cotidiano francés Le Echos, señalando no obstante – muy acertadamente – que lo que puede interesar a las empresas a menudo, dentro del magna informacional sin forma, son los temas de sociedad y los hobbies y que si los productos de una marca no corresponden ni a unos ni a otros una búsqueda de opinión no sirve evidentemente para nada!
Podemos añadir a este comentario que las herramientas que se disponen a salir de los laboratorios se basarán en efecto al contrario sobre las tecnologías más sofisticadas de la personalización de la Web, mas allá de la visión engañadora de la web comunitaria que sólo interesa a una minúscula parte de nuestra sociedad, condenada por diversas razones al pasatiempo
«Web 2.0 no es de hecho más que un microfenómeno », señala por su parte Francis Pisani en su blog – un verdadero blog -, «que nos impide, tal vez, ver la enormidad de los cambios que se operan», mucho más complejos y en cualquier caso radicalmente diferentes.
David Sifry (Technorati) subraya que la creciente blogalaxie baja a penas el 20% de los censados que pueden considerarse como activos – con un criterio bien discutible puesto que basta haber colgado un comentario una vez cada 90 días para ser considerado como activo…- y por otro lado la proporción descendiente (el 27% en octubre 2006, el 37% hace un año), signo precursor del jadeo de los falsos pareceres de estos últimos años
Cada uno tendrá por única arma la estructuración de sus propios conocimientos y su capacidad a compartir no su retórica societaria, sino sus más brillantes competencias. Una nueva generación de escritura de si mismo se está generando Y allí estaré en una economía basada en el único y exclusivo saber, si mi opinión les interesa.

8/15/2007

Mon opinion vous intéresse?


Au moment où chacun de San Francisco à Bangalore évoque la nouvelle page à écrire sur l’Internet de demain - le fameux Internet 3.0 -, nous pouvons regarder avec davantage de sérénité la frénésie d’une partie de notre société à avoir l’œil rivé sur l’opinion du voisin et sa propension à utiliser tous les ficelles de l’interactivité, y compris lorsqu’elle ne présente pas le moindre apport en termes de savoirs ou d’expertise…
«Institutions et entreprises ont commencé à s'intéresser davantage à l'opinion que l'on a d'eux sur le Net», souligne ainsi Virginie Robert dans son récent article des Echos, en soulignant néanmoins - à juste titre - que ce qui peut intéresser les entreprises dans ce qui reste souvent une sorte de magma informationnel informe, ce sont les sujets de société et les hobbies et que si les produits d'une marque ne correspondent ni aux uns ni aux autres, une quelconque veille d'opinion ne sert évidemment à rien!
On peut largement élargir un tel propos: les outils qui s’apprêtent à sortir des laboratoires seront en effet basés tout au contraire sur des technologies très sophistiquées de la personnalisation du Web, loin du trompe-l’œil d’un quelconque web communautaire qui n’intéresse qu’une minuscule frange de notre société condamnée pour des raisons diverses à une large oisiveté.
«Web 2.0 n’est en fait qu’un microphénomène», souligne de même de son côté Francis Pisani sur son blog - un vrai -, «qui nous empêche peut-être de voir l’énormité des changements en cours», beaucoup plus complexes et en tout cas radicalement différents.
David Sifry lui-même (Technorati) souligne ainsi que la croissance de la blogalaxie se ralentit: à peine 20% des blogs recensés peuvent ainsi être considérés comme actifs - avec un critère lui-même bien contestable puisqu’il suffit d’avoir posté une fois en 90 jours pour être considéré comme “actif”…- et d’ailleurs la proportion décroît (27% en octobre 2006, 37% il y a un an), signe avant-coureur de l’essoufflement des faux-semblants de ces dernières années.
Chacun aura à l’avenir pour seule arme la structuration de ses propres connaissances et sa capacité à partager non point sa rhétorique sociétale, mais ses compétences les plus pointues. Une nouvelle génération d’écriture de soi est en gestation. Et là je saurai vraiment, dans une économie basée sur le seul savoir, si mon opinion vous intéresse…
Voir le blog de Francis Pisani

8/07/2007

Víctor Manuel Dogar

Víctor Manuel Dogar possède sa page personnelle: http://victordogar.com/
Nous lui adressons tous nos vœux de réussite et le souhaitons longue vie dans son existence. VMD dit dans sa page que: "La baja fortuna jamás se enmendó con la ociosidad ni con la pereza; en los ánimos encogidos nunca tuvo lugar la buena dicha; nosotros mismos nos fabricamos nuestra ventura, y no hay alma que no sea capaz de levantarse a su asiento; los cobardes, aunque nazcan ricos, siempre son pobres, como los ávaros mendigos."Los trabajos de Persiles y Sigismunda" (Miguel de Cervantes Saavedra).
Il nous faut néanmoins ajouter ces deux citations qui compléteront ses propos:
Pour nous souvenir que, si le travail, la persévérance et la vaillance sont des éléments de réussite et de fortune, Calderón nous rappelle
¿Qué es la vida? Un frenesí.¿Qué es la vida? Una ilusión,una sombra, una ficción,y el mayor bien es pequeño;que toda la vida es sueño,y los sueños, sueños son.
Seul "Le silence" pourra nous procurer la connaissance nécessaire pour nous conduire vers le village du savoir que nous appelons de nos veux et vers lequel nous cheminons. Avec ce paradoxe formulé par Machado: "caminante no hay camino, se hace camino al anda...r" Ce silence comme continuité, c’est celui qui découvre l’homme qui se libère de sa mémoire, de ses gouts et de ses émotions, c’est ce «centre» qui remet en question l’établissement de n’importe quelle relation, un centre qui certainement incarne le néant mais qui se transforme en écoute qui a appris à faire taire sa voix pour s’ouvrir à tous les sons.
Un silence qui prête son ouïe au monde et qui nous conduit à ce lieu où l’oreille se remplit des sons. Etre attentif au silence, c’est écouter ce qui d’habitude nous échappe, ce qui passe inaperçu. Pour en arriver là, il est nécessaire d’arrêter l’activité urgente et cheminer vers ce que nous devons faire ou écouter.

Víctor Manuel Dogar lanza su página internet

Victor Manuel Dogar lanzó ya su página web http://victordogar.com/. Le felicitamos y les deseamos muchos éxitos en su andadura. VMG nos dice en su presentación: "La baja fortuna jamás se enmendó con la ociosidad ni con la pereza; en los ánimos encogidos nunca tuvo lugar la buena dicha; nosotros mismos nos fabricamos nuestra ventura, y no hay alma que no sea capaz de levantarse a su asiento; los cobardes, aunque nazcan ricos, siempre son pobres, como los ávaros mendigos."Los trabajos de Persiles y Sigismunda", Miguel de Cervantes Saavedra. No obstante, Victor Manuel, deseamos añadir a esta cita tuya estas otras:

Battitures - Dedicatoria

para hacernos recordar que si el trabajo, la perseverancia y la valentía son elementos de éxito y fortuna, en esta tierra estamos sólo de paso y como dice Calderón :

¿Qué es la vida?
Un frenesí.
¿Qué es la vida?
Una ilusión,una sombra, una ficción,
y el mayor bien es pequeño;
que toda la vida es sueño,
y los sueños, sueños son.

unicamente "El silencio" podrá procurarnos la sabiduría necesaria al encuentro con el conocimiento que tanto andamos buscando, allí donde no hay caminos, como dice Machado: "caminante no hay camino, se hace camino al anda...r" Ese silencio que descubre el hombre que se ha liberado de su memoria, de sus gustos y emociones, ese centro que pone en cuestión el establecimiento de cualquier relación; un centro que ciertamente es el nada, pero que se transforma en ese oído que aprendió a acallar su voz para abrirse a todos los sonidos, que presta oídos al mundo que nos conduce a ese lugar donde el oído se llena de sonidos. Atender al silencio es escuchar lo que usualmente se escapa, lo que pasa desapercibido. Para llegar a ello es preciso parar la actividad que urge y dirigirse hacia lo que se debe hacer o escuchar. Frases célebres

8/05/2007

La Abadía de Lagrasse y el turismo de otros tiempos

Por falta total de proposiciones nuevas para desarrollar nuevos ejes turísticos, algunos responsables llegan a olvidar incluso las razones primordiales de la presencia de los potenciales turistas, esos que tanto desean y buscan. Así la abadía medieval Lagrzasse, en la región de Aude, cuyas fundaciones remontan al siglo VIII y que hacen que resonen sus cantos gregorianos bajos sus bóvedas, está viéndose privada del horizonte cultural, base y origen de su existencia misma
En efecto, la manifestación cultural anual «Le Banquet du livre» que se desarrolla en la abadía, tiene por tema este año «La noche sexual». Una temática sobre la cual podemos preguntarnos, muy justamente, en qué y cómo ilustra las especificaciones de la susodicha implantación monástica.
Las actividades de esta manifestación tiene lugar en una abadía donde una comunidad de religiosos, los canónigos regulares de la Madre de Dios, que están instalados desde 2004 al lado de los espacios propiedad del Consejo General. En vez de acompañar su implantación y su desarrollo, los políticos de turno han preferido financiar, una vez más, una manifestación que hubiera podido tener lugar en los Baños Duchas de Paris.
Es tiempo y hora de salir de las viejas maneras de proceder que sólo han desarrollado el turismo cultural en apariencia, y que sobretodo nunca han conseguido ilustrar una política de gestión de movimientos turísticos dignos de tal nombre. Y sin embargo, es por ahí por donde hay que empezar….

Leer en fracés : Lefigaro

L'abbaye de Lagrasse et le tourisme d’hier


En manque total de propositions nouvelles pour développer de nouveaux axes touristiques, certains responsables en arrivent même à oublier les raisons d’être de la présence des touristes potentiels tant recherchés. Ainsi, l'abbaye médiévale de Lagrasse dans l'Aude, dont les fondations remontent au VIIIe siècle et qui font résonner leur chant grégorien sous ses voûtes est sur le point de se voir privé de l’horizon culturel qui se trouve à la base de son existence même.

En effet, la manifestation culturelle annuelle « Le Banquet du livre» qui se déroule à l Abbaye, se tient cet été sur le thème de «La nuit sexuelle». Une thématique dont on peut se demander à bon droit en quoi elle illustre les spécificités d’une telle implantation monacale.

Les activités de cette manifestation se déroulent dans une abbaye où une communauté de religieux, les chanoines réguliers de la Mère de Dieu, est installée depuis 2004 à côté des espaces qui sont la propriété du Conseil Général. Loin d’en accompagner leur implantation et leur développement on a préféré financer, une fois de plus, une manifestation qui aurait pu se dérouler aux Bains Douches à Paris.
Il est grand temps de sortir de vieilles façons de faire qui n’ont développé le tourisme culturel qu’en apparence et surtout qui n’ont jamais réussi à illustrer une politique de gestion de flux touristiques dignes de ce nom. C’est pourtant par là qu’il faudrait commencer….

8/04/2007

Creation de l'Institut Europe Amérique Latine



Creation de l'Institut Europe Amérique Latine dans le cadre de la Fondation des Territoires de Demain,
a été créé le GIE "Institut Europe Amérique Latine"
donc la responsable est Susana Darin, membre du

Territorios del Futuro


Territorios del Futuro : La creación de nuestra fundación
Esta noticia tiene como objetivo asociar a nuestros colegas, profesores, e investigadores, nuestros amigos de media y del mundo del sector de la economía y de la cultura a la creación de nuestra fundación Territorios del Futuro. Es seguro que todo no puede realizarse en la materia y de repente en tiempo real, pero esta herramienta nos permitirá, en todo caso así lo esperamos, a todos los que en Europa y en el mundo han acogido y acompañado a nuestros diferentes representantes de asociarse a las diversas etapas de la finalización de nuestro proyecto.
Este se basa sobre constataciones evidentes para muchos de nosotros: el papel importante que deberán desarrollar los territorios y las colectividades territoriales locales en los veinte próximos años. Resulta pues urgente acompañar a los actores concernidos, movilizar esta compleja reflexión y los medios necesarios dentro del marco de la génesis, que tenemos la suerte de vivir, de una economía del saber, del conocimiento y de la excelencia. Vocablos que, hay que reconocer, se comprenden y se utilizan indebidamente mal hoy en día porque son mal utilizados, y en consecuencia, son malentendidos como generadores de exclusión mientras que éstos constituyen el mejor de los fermentos de inclusión social, notablemente para los más jóvenes de entre nosotros. Muchos de nuestros contemporáneos, en efecto, viven mal su presente – y los líderes territoriales no cesan de decírnoslo -, porque sus relaciones, tanto en el pasado como en el futuro, son percibidos de manera confusa. Este último punto es uno de los que afluyen a menudo hoy en día en nuestra Red de Ciudades Digitales durante nuestros intercambios sobre ello, volveremos, seguramente, a menudo sobre este tema

Teritoires de demain


Territoires de Demain : la création de notre Fondation
Cette notice a un objectif celui d’associer nos collègues enseignants et chercheurs, nos amis des médias et du monde économique et culturel à la création de notre Fondation Territoires de Demain. Certes, tout ne peut être en la matière d’emblée annoncé en temps réel, mais cet outil nous permettra en tout cas, du moins nous l’espérons, à tous ceux qui en Europe et dans le monde ont accueilli et accompagné nos divers représentants de s’associer aux divers étapes de la finalisation de notre projet.
Celui-ci se base sur des constats évidents pour beaucoup d’entre nous : le rôle majeur des territoires et des collectivités locales dans les deux décennies à venir. Il s’avère donc urgent d’en accompagner les acteurs, de mobiliser à cette fin réflexion et moyens dans le cadre de la genèse que nous avons la grande chance de vivre qui est celle d’une économie du savoir et de l’excellence. Des mots qui, il faut bien le reconnaître, sont aujourd’hui mal compris parce que mal utilisés et donc entendus comme générateur d’exclusion alors même qu’ils constituent le meilleur des ferments d’inclusion sociale, notamment pour les plus jeunes d’entre nous.
Beaucoup de nos contemporains en effet vivent mal leur présent - et les décideurs territoriaux ne cessent de nous le rapporter -, parce que leurs rapports tant au passé qu’au futur sont perçus de manière floue. Ce dernier point est l’un de ceux qui revient le plus souvent à ce jour dans nos échanges et notre Réseau européen “Villes Numériques” a développé de nombreuses analyses sur ce point, on y reviendra probablement souvent. http://www.arenotech.org