Laura Garcia Vitoria

Territorios del conocimiento/Territoires de la connaissance Sociedad del conocimiento/Société de la connaissance : les regards sur l'identité personnelle et professionnelle dans la société de la connaissance

4/30/2008

Ética de la sociedad del conocimiento y cibercriminalidad

Hoy en día cuando visitamos un sitio navegado con un sistema operativo que tiene algún fallo de seguridad corremos el riesgo que nos sea instalado un virus, pero este virus es ahora un virus inteligente de una nueva generación (Malware 2.0), capaz de detectar el sistema operativo y el navegador de su víctima para instalarle el código malicioso adecuado. Cada día se descubren miles de páginas web infectadas con estos programas y en el 83% de los casos sus propietarios ni lo saben.
Estos programas de los cibercriminales se encuentran, sobretodo, instalados en las redes sociales. La más atacada es MySpace ya que los creadores de código malicioso intentan que la distribución de su código afecte al mayor número de ordenadores y, cuanto más grande y activa sea una red social más ordenadores quedaran infectados.Las primeras redes sociales atacadas a partir de 2005 fueron Orkut y MySpace. Desde entonces las redes sociales nos invitan constantemente a foros y a hacer amistades para que descarguemos un programa o una página para visualizar una foto, una postal o acceder a actualizaciones de conocidos programas que en realidad son virus, programas que instalan espías para robar datos.
Los cibercriminales empiezan a utilizan igualmente los vídeos en la web. Se han visto ya películas en Quicktime que descargan troyanos y los agujeros de YouTube permiten inyectar código malicioso en sus páginas, o vídeos que infectan con sólo mirarlos a pesar de que YouTube dice eliminar los vídeos sospechosos.
Además de infectar las páginas donde acude la gente, los cibercriminales infectan así miles de sitios legítimos, asaltando el servidor que los aloja. El objetivo de los cibercriminales de la Web 2.0 es ampliar sus redes de bots y obtener claves de acceso a cuentas bancarias instalando un troyano que irá descargando código malicioso al equipo según las necesidades de su creador. Robar es su objetivo a través de troyanos bancarios o los que reúnen información de hábitos de uso de Internet.

5/01/2008

L’infoéthique (suite) : le grand retour de la compétence et des expertises.

Un article paru dans Newsweek le 6 mars 2008 a retenu l’attention de nombreux bloggeurs qui, à l’image du suisse Jean Philippe Accart, le reprennent et le commentent largement. De quoi s’agit-il ? Le Web appartient aux internautes: le Web 2.0 qui mettait en avant une appropriation des réseaux par les internautes engendre aussi - nous le voyons aujourd’hui tous les jours et de plus en plus - les rumeurs, les fraudes, les erreurs : la question de la validation et donc de l’éthique de l'information est donc encore devenue plus centrale qu’auparavant.
La demande est croissante, souligne en effet Newsweek, pour recruter des professionnels qui éditent et valident les contenus sur le Web, afin d'éviter la « malinfo ». Nous avions déjà rappelé dans nos interventions que Google testait sous l'autorité de l'université Standford Knol depuis décembre dernier et que surtout l'ancien président d'Harvard, Larry Summers, lançait BigThink, des interviews d'intellectuels ou de personnalités qui avaient pour mérite d’être reconnues pour leurs savoirs. Selon L. Summers, " il existe une véritable demande pour qu'une partie du Web soit validée par des experts de l'information". Aujourd’hui, le site About.com voit sa popularité augmenter de 80% depuis 2005, un site où un certain nombre d'experts de tous domaines valident les sites enregistrés dans la base de données du moteur.
Le temps est donc venu, souligne l’éditorial, pour le « Web 3.0 » : cela ne signifie pas pour autant la disparition du concept de réseaux sociaux qui est bel et bien présent, mais que chacun doit reconnaître ses limites, comme l’a souligné ces derniers jours l’enquête de la BBC sur Face Book. D’où l’interrogation de beaucoup : le « Web 3.0 » ne constitue-t-il pas en quelque sorte la revanche des experts ? Ou plus simplement une étape indispensable pour l’économie du savoir auquel le présent blog est consacré ?